DOUCEUR ET VOLUPTE
Sur la colline d’une hanche
Une plume d’oie s’est posée
Elle embrasa de sa douceur
Un corps d’une extrême beauté.
À la commissure de ses lèvres
Une larme vint délicatement s’écouler
Elle glissa en arabesque
Sur un tendre menton métissé.
Le voile alors s’est soulevé
Sur un décor fantasmatique,
Une main blanche s’est glissée
Aux caresses homéopathiques.
Surgit alors de la vallée
Le spasme de l’amour sublimé,
De par la tiédeur du frisson
Les sens s’animent à l’unisson.
Dans une étreinte vertigineuse
Les âmes sœurs alors s’embrasent
Aux doux éclats de volupté
D’un charme aux désirs exaltés
La nuit de son voile marine
Enveloppe de sa candeur divine
Le doux écrin de la passion
Sur les accords d’un violon.
TDR©mhc
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