AME CALINE
Oppressée
par l’angoisse
Envahissant
ses jours,
La
femme solitaire,
Est
en manque d’amour.
Horizon
calme et plat,
Nuages
de velours,
Assombrissent
sa peine,
Grandissante
chaque jour.
Seule
dans cette maison vide,
Elle
scrute le néant,
D’avoir
homme auprès d’elle,
Serait
désir charmant.
De
ces nuits agitées,
Où
la belle s’enivre de
Rêves
enchantés,
L’espoir
est souverain,
De
connaître câlins.
Pourtant
les années coulent,
Sans
qu’ombre masculine,
Ne
vienne, âme câline,
Agrémenter ses jours.
C’est
alors que le temps,
Laisse
sur son passage,
Quelques
sillons de larmes,
Qui
peinent cette femme.
O toi, hasard de la vie,
Offre-lui
enfin l’homme,
Qui
comblera son coeur,
Enfin,
mieux que personne.
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