AME CALINE




Oppressée par l’angoisse
Envahissant ses jours,
La femme solitaire,
Est en manque d’amour.

Horizon calme et plat,
Nuages de velours,
Assombrissent sa peine,
Grandissante chaque jour.

Seule dans cette maison vide,
Elle scrute le néant,
D’avoir homme auprès d’elle,
Serait désir charmant.

De ces nuits agitées,
Où la belle s’enivre de
Rêves enchantés,
L’espoir est souverain,
De connaître câlins.

Pourtant les années coulent,
Sans qu’ombre masculine,
Ne vienne, âme câline,
Agrémenter ses jours.

C’est alors que le temps,
Laisse sur son passage,
Quelques sillons de larmes,
Qui peinent cette femme.

O toi, hasard de la vie,
Offre-lui enfin l’homme,
Qui comblera son coeur,
Enfin, mieux que personne.


Marie PREVOST 23.01.2015




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