MONOLOGUE DU POETE
J’aimerais, par
ma bouche
Vous lire ainsi les vers
Que j’écris chaque jour,
Comme lettres d’amour.
J’écris, pour les âmes sensibles,
Les vagabonds errants au
Fil de mots courants.
J’aimerais, que vos sens,
S’animent avec mes sens,
Que vos rêves effacés,
Surgissent en mots glacés.
J’aimerais, apprivoiser l’enfant
De petits mots charmants,
Qu’il s’accroche à mes vers,
Pénètre mon
univers.
J’écris, pour les âmes sensibles,
Les vagabonds errants au
Fil de mots courants.
J’aimerais, attacher ensemble
Mes poèmes, les suspendre au
Balcon pour qu’ils volent vers vous.
J’aimerais écrire des vers,
Effacer les colères.
J’aimerais,
que ma prose
Illumine
vos cœurs tristes,
Efface
tous vos maux,
Enfin,
ceux qui attristent.
J’aimerais,
vous entendre,
J’aimerais,
vous comprendre,
Pour
que ma poésie,
Dans
vos cœurs se répande.
Marie PREVOST
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